11mars : journée nationale d'hommage aux victimes du terrorisme; 19 mars : journée nationale du souvenir à la mémoire des victimes de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie; 25 avril : journée nationale du souvenir des victimes et
Communiqué du Cercle de Défense des Combattants d'Afrique du Nord Le général 2s Henry-Jean Fournier, confirme la publication de l’Avis du Cercle de la Défense des Combattants d’Afrique du Nord, concernant la mémoire des morts et disparus après le 19 mars 1962 qui sera réalisée dans les journaux suivants Le Figaro La Voix du Nord Nord Éclair Nord littoral Midi Libre L’Indépendant Centre-Presse Nice Matin Dernières nouvelles d’Alsace,L’Alsace Ouest France Bretagne et Calvados Soit au total plus d’un million de lecteurs. Pour info le seul journal qui a refusé Le Journal Sud Ouest A la veille de la commémoration de la fin de la guerre d'Algérie nous souhaitons expliquer pourquoi nous choisissons le 5 décembre et non le 19 mars ! Le 19 mars 1962 n'a pas marqué la fin de la guerre d'Algérie ! Non seulement parce que la date du 19 mars est celle d'une défaite. Mais parce qu'elle n'a même pas marqué, sur le terrain, la fin de la guerre bien plutôt la fin de l'engagement des autorités françaises dans la défense de leurs ressortissants et le début des terrifiantes violences dont furent victimes les Français d'Algérie et les supplétifs engagés aux côtés de la France. On peut choisir n'importe quelle date sauf le 19 mars!» François Mitterrand Sur le plan diplomatique, la défaite» française en Algérie est de fait incontestable. Mais il est également vrai qu'elle était inscrite dès le début dans le processus des négociations. Et ce, pour une raison simple l'Elysée était demandeur et pressé… C'est le 20 février 1961 que, dans le plus grand secret, Georges Pompidou et Bruno de Leusse prennent contact en Suisse, à l'hôtel Schweitzer de Lucerne, avec les représentants du GPRA Gouvernement provisoire de la République française, Ahmed Boumendjel, Taïeb Boulahrouf et Saad Dalhab. Selon les instructions reçues, il ne s'agit pour les représentants français que d'une mission d'information sur les objectifs à long terme du FLN et sur les voies et étapes qu'il compte emprunter pour y parvenir. Immédiatement, Pompidou donne le ton en affirmant que la France a la situation bien en main, que l'Algérie n'est pas l'Indochine -Il n'y aura pas de Dien Bien Phu»-, que les menaces de Khrouchtchev ou de tout autre ne font pas peur à De Gaulle et, pour finir, que la France ne craint pas l'indépendance algérienne. Elle exige donc un arrêt des combats avant d'entreprendre des pourparlers avec toutes les tendances sur les conditions de l'autodétermination, dont elle a accepté, depuis le référendum du 8 janvier 1961, le principe. Mais tout de suite aussi, les Algériens font connaitre leur refus de bouger d'un pouce sur la question du cessez-le-feu qui, disent-ils, doit résulter d'un accord politique. C'est l'impasse. Et la situation n'évolue guère lorsque les mêmes se retrouvent pour une nouvelle réunion, le 5 mars suivant, à Neuchâtel. Les contacts secrets confirmaient l'absence complète d'accord sur les liens à établir entre les éventuels pourparlers officiels et la cessation des violences», écrit Bernard Tricot, qui assurait alors le secrétariat de la Direction des affaires algériennes à l'Elysée. A la trêve statique» des Français, les Algériens opposent leur cessez-le-feu dynamique» qui serait fonction des progrès de la négociation… Que va décider De Gaulle? Le 8 mars, un communiqué du chef de l'Etat appelle à l'ouverture de discussions sans conditions préalables». En bref, le cessez-le-feu n'en est pas un. Il sera l'objet de négociation comme un autre… De Gaulle vient d'en passer par la première des quatre volontés du FLN. Le 8 mars, lors d'une nouvelle réunion, Bruno de Leusse lit devant les émissaires du GPRA un communiqué du chef de l'Etat appelant à l'ouverture de discussions sans conditions préalables». En bref, le cessez-le-feu n'en est pas un. Il sera l'objet de négociation comme un autre… Ce 8 mars 1961, De Gaulle vient donc d'en passer par la première des quatre volontés du FLN. Les trois autres exigences du mouvement révolutionnaire sont claires 1 le FLN doit être considéré comme le seul représentant qualifié du peuple algérien; 2 l'Algérie est une, Sahara compris ce qui n'a aucun fondement historique le Sahara n'a appartenu à l'Algérie que sous la souveraineté française; 3 le peuple algérien est un, et ce que décidera la majorité du peuple vaudra pour tout le territoire et pour tous ses habitants. Il ne doit donc y avoir aucun statut particulier pour les Européens. C'est le futur gouvernement algérien qui, une fois installé, décidera avec son homologue français des garanties dont ils jouiront, des modalités de la coopération et des questions de défense. En attendant, il convient de discuter des garanties de l'autodétermination. Le 15 mars, un communiqué du Conseil des ministres confirme son désir de voir s'engager, par l'organe d'une délégation officielle, des pourparlers concernant les conditions d'autodétermination des populations algériennes concernées ainsi que les problèmes qui s'y rattachent». Tricot constate Les commentateurs les plus avertis se doutèrent bien que si le cessez-le-feu n'était pas mentionné séparément, c'est qu'il faisait désormais partie des problèmes qui se rattachaient à l'autodétermination et qu'il ne constituait pas un préalable.» Le 30 mars, le gouvernement français et le GPRA annoncent simultanément que les pourparlers s'ouvriront le 7 avril à Evian. Mais le lendemain, interrogé par la presse sur ses contacts avec Messali Hadj, le leader du Mouvement national algérien MNA, rival du FLN, Louis Joxe, le ministre en charge des Affaires algériennes, déclare qu'il consultera le MNA comme il consultera le FLN. Aussitôt la nouvelle connue, le GPRA annule les pourparlers. Que va faire de Gaulle? Le gouvernement s'en tient, pour ce qui le concerne, à l'esprit et aux termes de son communiqué du 15 mars.» Le FLN sera donc l'interlocuteur unique et le représentant exclusif du peuple algérien. Ce 6 avril 1961, De Gaulle vient d'en passer par la deuxième des quatre volontés du FLN. Le 6 avril, le Conseil des ministres publie un communiqué prenant acte de l'ajournement de la conférence d'Evian et conclut sobrement Le gouvernement s'en tient, pour ce qui le concerne, à l'esprit et aux termes de son communiqué du 15 mars.» Le FLN sera donc l'interlocuteur unique et le représentant exclusif du peuple algérien. Ce 6 avril 1961, De Gaulle vient donc d'en passer par la deuxième des quatre volontés du FLN. Cette double capitulation en l'espace d'un mois explique peut-être les termes un peu crus de sa déclaration du 11 avril L'Algérie nous coûte, c'est le moins que l'on puisse dire, plus qu'elle nous rapporte … Et c'est pourquoi, aujourd'hui la France considérerait avec le plus grand sang-froid une solution telle que l'Algérie cessât d'appartenir à son domaine.» Sur ce, le 21 avril, éclate le putsch des généraux dont l'échec entraîne la création de l'OAS par Pierre Lagaillarde et Jean-Jacques Susini. La violence atteint vite un seuil insoutenable et De Gaulle avoue à Robert Buron ne plus rien maîtriser. Il n'y a plus, dit-il, que deux forces en présence le FLN et l'OAS.» C'est dans ce contexte que, le 20 mai, les négociations s'ouvrent à Evian. Du côté français, outre Louis Joxe, la délégation comprend, entre autres, Bernard Tricot, Roland Cadet, Claude Chayet et Bruno de Leusse. Tous des professionnels de la négociation. Du côté algérien, le chef de file n'est autre que Krim Belkacem, dont l'instruction se résume à un passé de maquisard. Pour marquer sa bonne volonté, le chef de l'Etat annonce une trêve unilatérale d'un mois l'action des troupes françaises sera limitée à l'autodéfense, la libération de 6000 prisonniers et le transfert au château de Turquant, en Indre-et-Loire, des chefs du FLN capturés en 1956. De Gaulle déclare, le 5 septembre, accepter la souveraineté du FLN sur le Sahara, dont il disait quelque temps plus tôt à Louis Joxe Le pétrole, c'est la France et uniquement la France!» Il vient d'en passer par la troisième des quatre volontés du FLN. Après une première interruption des pourparlers le 13 juillet due, notamment, à des divergences sur le Sahara, une reprise des négociations au château de Lugrin, le 20 juillet, et un nouveau capotage pour la même raison. Ne reste plus en suspens que le sort des pieds noirs et des musulmans fidèles à la France, qu'il évoque d'ailleurs dans la suite de son discours, en parlant de dégagement». Le mot résonne douloureusement à leurs oreilles, même si De Gaulle assure qu'en cas de rupture brutale avec l'Algérie, l'Etat entreprendra de regrouper dans une région déterminée les Algériens de souche européenne et ceux des musulmans qui voudraient rester avec la France», donnant ainsi un début de réalité au thème de la partition» lancé à sa demande par Peyrefitte. Dans le camp d'en face, Benyoucef Ben Khedda, un marxiste, succède à Ferhat Abbas à la tête du GPRA. Le 11 février 1962, les négociations reprennent aux Rousses. Elles s'achèvent une semaine plus tard sur un ensemble de textes qualifiés d'accords de principe» que les Algériens doivent soumettre au CNRA, l'instance suprême de la Révolution, réuni à Tripoli. Le 7 mars s'engage la seconde conférence d'Evian qui traîne trop aux yeux de l'Elysée. Robert Buron décrit un De Gaulle moins serein, moins souverain» au téléphone. Le 18 mars, juste avant la signature, Krim Belkacem fait valoir une exigence que les délégués français lisent à voix haute les 93 pages du document. Ces derniers s'exécutent en se relayant, article après article, tandis que les délégués algériens suivent attentivement chaque mot et que De Gaulle, à l'Elysée, attend. Le rituel imposé une fois terminé, les accords d'Evian sont paraphés par les deux délégations. Ils prévoient l'organisation d'un référendum sur l'indépendance. Il aura lieu le 1er juillet. Dans l'intervalle, le pouvoir sera exercé par un exécutif provisoire, sous la direction de Christian Fouchet. Dans son Journal, à la date de ce 18 mars, Buron reconnait que sa signature figure au bas d'un bien étrange document». Et il note Les jours qui viennent vont être des jours de folie et de sang». Si le texte des accords d'Evian assure en principe aux Français d'Algérie toutes libertés énoncées dans la Déclaration universelle des droits de l'homme», l'Elysée a renoncé à tout statut particulier pour nos nationaux et aucune clause ne concerne précisément les supplétifs. C'est la quatrième des exigences du FLN. Car si le texte assure en principe aux Français d'Algérie toutes libertés énoncées dans la Déclaration universelle des droits de l'homme», ainsi que la possibilité de transporter leurs biens mobiliers, liquider leurs biens immobiliers, transférer leurs capitaux», l'Elysée a renoncé à tout statut particulier pour nos nationaux et aucune clause ne concerne précisément les supplétifs. C'est la quatrième des exigences du FLN. Le lendemain 19 mars, le cessez-le-feu est proclamé du côté français par le général Ailleret, du côté algérien par Ben Khedda. Or, ce même 19 mars censé instaurer la paix, le directeur de la police judiciaire, Michel Hacq, patron de la mission C» C pour choc qui supervise les barbouzes ces éléments clandestins» chargés depuis décembre 1961 de la lutte contre l'OAS, rencontre secrètement le chef fellagha Si Azzedine, patron de la Zone autonome d'Alger, pour lui remettre une liste d'activistes. Tout y est les noms et les pseudonymes, les âges et les adresses. Le marché est clair, écrit Jean-Jacques Jordi les commandos d'Azzedine peuvent se servir de cette liste pour leurs actions contre l'OAS et ils peuvent “bénéficier” d'une certaine impunité d'autant que les buts du FLN et de la mission “C” se rejoignent … Cependant, force est de constater que ces mêmes commandos FLN ne s'attaquaient pas réellement aux membres de l'OAS mais poursuivaient une autre stratégie faire fuir les Français par la terreur.» Ce nettoyage ethnique qu'évoque sans fard dans ses Mémoires, l'ancien président du GPRA, Ben Khedda, en se vantant d'avoir réussi à déloger du territoire national un million d'Européens, seigneurs du pays», était en germe depuis longtemps puisque les négociateurs du FLN à la conférence de Melun, Boumendjel et Ben Yahia, en avaient fait la confidence à Jean Daniel dès le 25 juin 1960 Croyez-vous, leur avait demandé le journaliste, originaire de Blida, qu'avec tous ces fanatiques religieux derrière vous, il y aura dans une Algérie indépendante un avenir pour les non-musulmans, les chrétiens, les juifs auxquels vous avez fait appel?» Les deux responsables FLN ne s'étaient pas dérobés Ils m'ont alors expliqué, témoigne Jean Daniel, que le pendule avait balancé si loin d'un seul côté pendant un siècle et demi de colonisation française, du côté chrétien, niant l'identité musulmane, l'arabisme, l'islam, que la revanche serait longue, violente et qu'elle excluait tout avenir pour les non-musulmans. Qu'ils n'empêcheraient pas cette révolution arabo-islamique de s'exprimer puisqu'ils la jugeaient juste et bienfaitrice.» Sur le terrain, le cessez-le-feu ne change rien à la poursuite de l'offensive menée de concert par le pouvoir gaulliste et le FLN contre leur ennemi commun» selon l'expression de Krim Belkacem. Détail important la livraison au FLN par Hacq, ce 19 mars, de la liste des activistes n'est pas une nouveauté. Elle fait suite à une première liste de 3000 noms adressée au FLN par l'intermédiaire de Lucien Bitterlin, l'un des chefs des barbouzes, dès janvier 1962… C'est-à-dire trois mois avant les accords d'Evian, qui vont voir les relations entre Hacq et Si Azzedine se renforcer. Force est donc de constater que, sur le terrain, le cessez-le-feu ne change rien à la poursuite de l'offensive menée de concert par le pouvoir gaulliste et le FLN contre leur ennemi commun» selon l'expression de Krim Belkacem. Lors de la crise des Barricades, la première révolte des pieds-noirs après le discours de De Gaulle annonçant, en septembre 1959, l’autodétermination en janvier 1960, le chef rebelle a en effet affirmé à l'ambassadeur américain à Tunis, Walter Walmsley, que si De Gaulle avait besoin de soutien, le GPRA se mobiliserait à ses côtés contre tous ceux qui s'opposent à l'indépendance de l'Algérie. Et donc, par extension, contre tous les Français d'Algérie à quelque confession qu'ils appartiennent. Message entendu à l'Elysée. On n'allait bientôt plus savoir qui tuait qui -et pour le compte de qui! On tuait, voilà tout», écrit Bitterlin. Ce 19 mars 1962, la guerre n'est donc pas finie seuls les alliés et les adversaires ont permuté en fonction des développements successifs de la politique gaulliste. Elle va même prendre un tour extrême quelques jours plus tard. Le 26 mars, rue d'Isly, une manifestation interdite mais pacifique de Français d'Algérie se dirigeant vers le quartier de Bab-el-Oued, foyer de l'OAS, encerclé par l'armée, se heurte à un barrage de tirailleurs venus du bled. Elle est mitraillée à bout portant. Bilan près de 49 morts et 200 blessés. Le drame n'a rien d'un dérapage Christian Fouchet s'en est justifié plus tard lors d'une confidence à Jean Mauriac J'en ai voulu au Général de m'avoir limogé au lendemain de Mai 68. C'était une faute politique. Il m'a reproché de ne pas avoir maintenu l'ordre “Vous n'avez pas osé faire tirer [sous-entendu sur les manifestants étudiants]-J'aurais osé s'il avait fallu, lui ai-je répondu. Souvenez-vous de l'Algérie, de la rue d'Isly. Là, j'ai osé et je ne le regrette pas, parce qu'il fallait montrer que l'armée n'était pas complice de la population algéroise.”» Le 3 avril 1962, De Gaulle déclare qu'il faut se débarrasser sans délai de ce magmas d'auxiliaires qui n'ont jamais servi à rien» et donne l'ordre de désarmer les harkis. Le 4 mai, il déclare que l'intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs.» Les uns et les autres font partie du boulet» dont il avait avoué à Peyrefitte, le 20 octobre 1959, qu'il faudrait s'en délester». Dans la folie meurtrière qui, sous les coups conjugués de l'OAS, du FLN, des barbouzes et du Détachement métropolitain de police judiciaire» couverture officielle de la fameuse mission C» constituée de 200 policiers, et d'une trentaine de gendarmes aux ordres du capitaine Armand Lacoste, s'empare de l'Algérie et menace la métropole, la figure de l'ennemi commun» se précise le 3 avril 1962, lors d'une réunion du Comité des affaires algériennes, De Gaulle déclare qu'il faut se débarrasser sans délai de ce magmas d'auxiliaires qui n'ont jamais servi à rien» et il donne l'ordre de désarmer les harkis. Le 4 mai, en Conseil des ministres, il déclare que L'intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs.» Les uns et les autres font donc partie du boulet» dont il avait avoué à Alain Peyrefitte, le 20 octobre 1959, qu'il faudrait s'en délester». Cette disposition d'esprit du chef de l'Etat a une traduction concrète sur le terrain en vertu de l'ordre donné à l'armée de rester l'arme au pied quoi qu'il arrive à nos nationaux, la politique d'abandon de l'Algérie se double d'une politique d'abandon des populations qui se réclament de la France et dont le sort est désormais lié au seul bon vouloir du GPRA. Le rapport de Jean-Marie Robert, sous-préfet d'Akbou en 1962, adressé à Alexandre Parodi, vice-président du Conseil d'Etat, donne une idée détaillée des massacres auxquels se livre alors le FLN sur les supplétifs de l'armée française mais aussi sur les élus maires, conseillers généraux et municipaux, anciens combattants, chefs de village, etc. promenés habillés en femmes, nez, oreilles et lèvres coupées, émasculés, enterrés vivant dans la chaux ou même dans le ciment, ou brûlés vifs à l'essence». Aux massacres de harkis qui atteignent bientôt des proportions et une horreur inimaginables, s'ajoutent les enlèvements d'Européens de l'ordre de 300 à 400 entre novembre 1954 et mars 1962, ils se multiplient brusquement à partir de cette date pour atteindre selon les travaux de Jordi le chiffre de 3000 -dont 1630 disparus. Dans l'indifférence la plus totale de la part du gouvernement français que n'émeut pas davantage le massacre du 5 juillet jour officiel de l'indépendance algérienne après la victoire du oui au référendum du 1er juillet à Oran, qui va coûter la vie à 700 Européens. Aux massacres de harkis qui atteignent bientôt des proportions et une horreur inimaginables, s'ajoutent les enlèvements d'Européens ils se multiplient brusquement pour atteindre le chiffre de 3000 dont 1630 disparus. Pour la France, à part quelques enlèvements, les choses se passent à peu près convenablement», déclare De Gaulle le 18 juillet. Pour la France, à part quelques enlèvements, les choses se passent à peu près convenablement», déclare même De Gaulle le 18 juillet. Devant l'exode, dont il nie la réalité jusqu'au dernier moment, le chef de l'Etat ne se soucie que de la concentration» des réfugiés dans le sud de la France. L'ordre qu'il donne alors, le 18 juillet, est d'obliger les repliés» ou les lascars» c'est ainsi qu'il appelle les pieds-noirs selon son humeur du jour à se disperser sur l'ensemble du territoire». S'attirant cette réponse de Pompidou, nouveau Premier ministre Mais à quel titre exercer ces contraintes, mon général? On ne peut tout de même pas assigner des Français à résidence! Les rapatriés qui sont autour de Marseille ne créent aucun problème d'ordre public. On ne peut pas les sanctionner!» il réplique Si ça ne colle pas, il faut qu'on se donne les moyens de les faire aller plus loin! Ça doit être possible sous l'angle de l'ordre public.»
le5 décembre, c'est la journée nationale aux morts pour la france pendant la guerre d'algérie et les combats du Maroc et de Tunisie. Dans mon village, (je donn. Paras, bérets
Aujourd’hui a eu lieu la cérémonie du 5 décembre en hommage aux combattants de la guerre d’Algérie, du Maroc et de la Tunisie. Étaient présents Monsieur Peguet Président de CATM, Monsieur Genty Président de la FNACA, Monsieur Garnier Président du Souvenir français et leurs porte drapeaux. De plus, de nombreux élus dont Monsieur Gouverneur Conseiller Départemental, Monsieur Charpentier Maire de Wassy, les sapeurs-pompiers, le major Huguenin ont participé aussi à cette cérémonie. Articles similaires
Explications La guerre d’Algérie a décidément bien du mal à se terminer. Estiment Justifiée la fixation d'une date de commémoration 68% 8 mai : Commémoration de la victoire du 8 mai
À l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, un dépôt de gerbe aura lieu le samedi 5 décembre au monument aux morts de la commune. Conformément aux recommandations liées à la crise sanitaire, la cérémonie se tiendra en comité restreint et ne sera pas ouverte au public. Pour en savoir plus sur cette commémoration informations historiques et mémorielles, consultez le site web Discours de Mme Geneviève DARRIEUSSECQ, ministre déléguée, chargée de la Mémoire et des Anciens combattantsCedimanche 5 décembre avait lieu la journée nationale d'hommage aux "morts pour la France" pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc ainsi que ceux de la Tunisie. À Pontarlier
Publié le 02 décembre 2021 à 18h06 Un hommage aux morts pour la France, pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, sera rendu? le dimanche 5 décembre à 11 h, au square de la Résistance. Jean-Paul Vermot, maire de Morlaix, présidera la cérémonie, accompagné d’Yvon Laurans, correspondant défense adjoint aux affaires patriotiques, Michèle Quéau, présidente du comité d’entente des associations square de la RésistanceLe rassemblement est prévu à 11 h devant le monument aux morts, square de la Résistance, suivi de la lecture, par Jean-Paul Vermot, du message de l’Union française des associations de combattants et victimes de guerre et du message de Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la mémoire et des anciens combattants. Dépôt de gerbes, sonnerie aux morts, minute de silence et hymne national ponctueront la cérémonie durant laquelle le port du masque est obligatoire.
Publiéle 07/12/2021 à 05:22. De retour de la cérémonie religieuse, c’est sous la pluie que le cortège des porte-drapeaux et des autorités arrive pour célébrer la journée nationale d’hommage, "aux femmes et aux hommes, civils ou militaires morts pour la France" de 1954 à 1962 pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc
Le président Jacques Chirac a choisi la date du 5 décembre pour célébrer la mémoire des Français morts pendant la guerre d'Algérie et pendant les combats au Maroc et en Tunisie, a annoncé mercredi le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hamlaoui Mekachera. "Le 5 décembre est une date de commémoration officielle pour rendre hommage à nos morts", a-t-il déclaré à l'issue du conseil des ministres. Ce dossier sensible a fait l'objet de vives polémiques entre les organisations d'anciens combattants. Outre le 5 décembre, deux dates étaient en débat le 19 mars, anniversaire du cessez-le-feu et des accords d'Evian en 1962, et le 16 octobre, jour de l'inhumation du "soldat inconnu" de la guerre d'Algérie en 1977 à la Nécropole de Notre-Dame-de-Lorette Pas-de-Calais. Ce conflit, qui a duré de 1954 à 1962, n'a été reconnu en tant que "guerre" qu'en octobre 1999, par décision du Parlement français. Finalement, la date de cette journée nationale d'hommage a été retenue en référence à la cérémonie organisée le 5 décembre 2002 pour l'inauguration par Jacques Chirac du mémorial dédié aux combattants d'Afrique du Nord, et situé quai Branly à Paris. Le secrétariat d'Etat ne précise pas s'il est envisagé que cette journée soit fériée. Commission Favier Le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants a précisé que Jacques Chirac avait suivi l'avis de la commission présidée par l'historien Jean Favier, dont "neuf personnalités sur dix ont choisi le 5 décembre". Cette commission avait été chargée par le gouvernement de rechercher un accord aussi large que possible sur la date de la journée d'hommage, qui ne faisait pas consensus parmi les associations d'anciens combattants et la classe politique. Certains étaient favorables à la date du 19 mars 1962. Une proposition de loi adoptée en janvier 2002 par l'ancienne majorité avait précédemment retenu cette date comme journée du souvenir. "Nous avons essayé d'éviter la polémique", a répondu Hamlaoui Mekachera. Le secrétaire d'Etat a précisé que le 19 mars "peut continuer à être commémoré pour ceux qui le souhaitent". La FNACA ne commémorera pas cette date La Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie FNACA a condamné mercredi, "avec la plus grande fermeté", le choix du 5 décembre, annonçant qu'elle "ne commémorera pas" cette date. "Après avoir tergiversé pendant plus de six mois, le gouvernement vient de rendre sa décision à propos de la date de commémoration des victimes de la guerre d'Algérie, sans en référer au Parlement", s'indigne dans un communiqué la FNACA, qui revendique plus de adhérents. La Fédération "exprime avec la plus grande fermeté sa condamnation du choix qui a été fait". "La date du 5 décembre ... n'a absolument aucune signification historique en rapport avec ce conflit. Cette date est peut-être soutenue par des hommes de bonne foi, mais elle l'est surtout par tous ceux qui tentèrent de s'opposer à la légalité républicaine de 1961 à 1962", poursuit le communiqué. Pour la FNACA, première association d'anciens combattants d'Algérie, "seule la commémoration du cessez-le-feu officiel de la guerre d'Algérie, le 19 mars 1962, peut constituer la journée nationale du souvenir et du recueillement". "La FNACA ne participera pas aux cérémonies "commémoratives" du 5 décembre" et appelle tous ses responsables "à manifester leur indignation auprès des élus de la majorité et de toutes autorités de l'Etat, pour que la décision scandaleuse qui vient d'être prise soit reportée". avec AP
Mardi5 décembre 2017 a eu lieu la cérémonie en hommage aux victimes de guerre des Combattants de la Guerre d'Algérie et des Combats du Maroc et de la Tunisie au Monument aux Morts devant le parvis de l'Eglise Saint-Rémi. Cette
La Ville de Châteaubriant accueillait ce matin du 5 décembre 2019 un vibrant hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Nous sommes réunis aujourd’hui pour rendre Hommage aux 25 000 Combattants de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie, Morts pour la France entre 1952 et 1962 », a introduit Lucien Garda avant de remercier la présence de l’ensemble des autorités administratives du territoire et les représentants des Armées, de la Gendarmerie, de la Police Municipale et des pompiers de Châteaubriant. Entouré par ses camarades de l’UNC Châteaubriant, de l’Union Nationale des Combattants de la Loire-Atlantique, des Associations d’Anciens Combattants et des portes-drapeaux de l’Arrondissement de Châteaubriant, Lucien Garda, président du Groupement des Associations d’Anciens Combattants et Patriotiques de Châteaubriant, a orchestré la cérémonie d’Hommage au pied du Monument aux Morts sur l’Esplanade du Château. Ce passé devient progressivement l’Histoire, mais la mémoire demeure, vive, prenante. Nous devons assurer cette mémoire car il ne faut pas que ces femmes et ces hommes qui ont servi, ont été tués, soient oubliés », a déclaré en première lecture, Louis Prime, président de l’UNC Châteaubriant. Avant le traditionnel dépôt de gerbes par les autorités présentes, c’est au maire de Châteaubriant qu’est revenu l’honneur de lire le message de Geneviève Darrieussecq, Secrétaire d’Etat auprès de la Ministre des Armées A l’occasion de cette cérémonie d’hommage aux morts pour la France des Guerres d’Algérie, des combats du Maroc et de la Tunisie qui s’est déroulée ce jeudi 5 décembre à Châteaubriant, Michel HOULLIER, Président d’honneur de l’Union Nationale des Combattants de Loire-Atlantique a rappelé que l’UNC, à l’occasion de son Centième anniversaire, avait relaté l’implication et le soutien de la Ville de Châteaubriant. A ce titre, il a remis, symboliquement, à la Municipalité, une tape de bouche de canons gravée du blason de l’UNC. Le saviez-vous ? >> La journée nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie a été instaurée par le décret n° 2003-925 du 26 septembre 2003.
Hommageaux morts de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Hommage aux morts de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Annonces Légales. Se connecter. Abonnez-vous pour 1€ Menu. Actualités; Communes; Faits Divers; Sports; Loisirs; En Continu; Annonces; Participez; S'abonner. Rechercher. Se connecter.
Dominique PALIX, Conseillère départementale du canton du Pouzin, est venu déposer une gerbe le 5 décembre dernier à l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux Morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie. Laisser un commentaire Barre latérale droite Vous n'avez actuellement aucune extension widget installée dans votre barre latérale droite. Vous pouvez ajouter des extensions via le tableau de cacher la barre latérale, modifier la mise en page layout via les Paramètres de thème.
Neufchâteaua commémoré la fin de la guerre d'Algérie le 5 décembre lors d'une cérémonie à huis-clos. Retour en images. Société.7 Décembre 2012 , Rédigé par ACH-Ile de France 5 décembre 2012 commémoration de la fin de la Guerre d'Algérie Comme chaque année, le 5 décembre 2012, le monde combattant avait rendez-vous avec la commémoration de la fin de la Guerre d'Algérie à Paris et dans le reste de la France. Comme le veut la tradition, il revenait au ministre délégué aux anciens combattants de présider les cérémonies officielles à Paris. C'est ainsi que, ministre du gouvernement de Jean-Marc Ayrault en charge des anciens combattants, Kader ARIF a pris part en fin de matinée à la cérémonnie de commémoration devant le mémorial du quai Branly dans le VII arrondissement, à proximité de la Tour Eiffel. Aprés avoir passé en revue les troupes, le ministre a prononcé un discours d'hommage et de mémoire envers toutes celles et tous ceux qui ont pris part aux événements qui sont devenus la Guerre d'Algérie. Le 5 décembre 2012 fut aussi l'occasion pour le ministre Kader ARIF de décorer plusieurs anciens combattants ayant pris part aux différents théâtres d'opération durant la Guerre d'Algérie. Aprés la cérémonie au quai Branly, l'ensemble des participants a été convié à prendre part en fin d'aprés midi à la cérémonie de ravivage de la flamme sur la tombe du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe dans le quartier des Champs Elysée. Comme chaque année, une délégation des harkis d'Ile-de-France a pris part aux cérémonies du 5 décembre commémorant la fin de la Guerre d'Algérie. Dans le cadre de la cérémonie sous l'Arc de Triomphe, l'ACH-IDF a déposé une gerbe sur la tombe du soldat inconnu en mémoire des 150 000 harkis abandonnés à leur propre sort à partir du 12 mai 1962 par le pouvoir gaulliste de l'époque. Le cérémonie de ravivage de la flamme fut aussi l'occasion pour le ministre délégué aux anciens combattants de saluer dans le cadre d'un bain de foule toutes celles et tous ceux qui ont pris part à la commémoration du 5 décembre. ________________________ Message de M. Kader ARIF, ministre délégué auprés du ministre de la Defense, chargé des anciens combattants __ Paris le 5 décembre 2012 Journée nationale d’hommage aux "morts pour la France" pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie En cette journée nationale de commémoration, la Nation rend hommage à tous les morts pour la France » pendant !a guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie. Le retour sur cette mémoire douloureuse, du fait de la commémoration, cette année, du cinquantième anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie, donne à cette célébration un relief particulier. Les drames personnels vécus par les acteurs multiples de ce conflit, propulsés dans une guerre d’une violence extrême par son impact sur les chairs comme sur les mémoires, sont rappelés avec une actualité qui interroge et interpelle. Cinquante ans, c’était jadis la durée de deux générations. Combien de temps faudra-t-il encore pour que cette période commune de l’histoire du peuple français et du peuple algérien soit regardée avec lucidité, franchise, sans repentance et dans un réel souci d’apaisement ? La guerre d’Algérie a profondément et durablement divisé les opinions publiques, déchiré les familles. Tous, soldats de métier ou du contingent, harkis, "pieds-noirs", ont conservé de ce terrible conflit non seulement une peine et une douleur réelles, mais aussi un goût d’amertume, nourri par l’incompréhension. Certains ont voulu tourner la page, d’autres se sont ancrés dans leurs souvenirs, beaucoup enfin n’ont jamais pu trouver les mots pour exprimer l’indicible. Si les cicatrices incrustées dans les chairs se soignent avec le temps, les blessures qui traversent les mémoires sont les plus longues à guérir. Tous ces hommes et toutes ces femmes, tous ces civils et ces militaires qui, pour fait de guerre et parce qu’ils avaient foi en la France, ont perdu la vie sur la terre algérienne ou eu métropole, méritent le respect et l’hommage que la Nation leur rend. Les tragédies personnelles sont multiples, les mémoires sont plurielles. Elles doivent être respectées. Mais il faut savoir dépasser les histoires particulières, aussi douloureuses soient-elles, pour comprendre la réalité complexe de la guerre d’Algérie. Car nous avons un devoir urgent, c’est celui de progresser sur la même voie de réconciliation. Nous le devons à tous les morts causés par cette tragédie, à leurs familles, mais aussi aux jeunes d’aujourd’hui et aux générations futures qui souhaitent une relation franco-algérienne enfin apaisée. Telle est la volonté qui doit animer les acteurs des deux rives de la Méditerranée, dans le respect mutuel et la volonté commune de progresser vers l’avenir, quel qu’ait été le passé. Kader Arif _________________ L'album photos de la commémoration du 5 décembre 2012 à Paris _Lamicale des anciens combattants et sa section UNC-Alpes commémorent la journée officielle d’hommage aux Morts pour la France de la guerre d’Algérie, des combats du Maroc et de Tunisie Monument aux Morts "Amboise à ses morts / 1914-1918" Voir les informations pratiques La cérémonie d’hommage aux morts de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie, se déroulera dans le strict respect des règles sanitaires le samedi 5 décembre à Amboise. En application des directives préfectorales, le nombre de participants reste limité à six personnes ; par conséquent la cérémonie n'est pas ouverte au public. La cérémonie est organisée conjointement par la Municipalité et l’Union Nationale des Combattants. Assistez en direct à la cérémonie en vous connectant à la page Facebook "Ville d'Amboise" à 10h45 samedi 5 décembre. Déroulé de la cérémonie 10h45 Rassemblement devant le Monument aux Morts ; 11h00 Cérémonie - montée des couleurs - dépôt d’une seule gerbe commune et discours. Dans ce contexte très particulier, il n’y aura pas cette année, de remises de décorations ou de médailles. Avec l’espoir de jours meilleurs à venir, celles-ci seront reportées en 2021. Seront présents Pour la Ville d’Amboise Monsieur Thierry BOUTARD, Maire d’Amboise ; Madame Josette GUERLAIS, Adjointe au Maire, déléguée aux affaires patriotiques ; Pour l’UNC - section d’Amboise Monsieur Yves SAVONNEAU, Président ; Monsieur Gérard RIVAL, Secrétaire ; Monsieur Michel FONTENEAU, Maître de cérémonie ; Monsieur Antoine SEIGNEURIN, Porte-drapeau. Date 5 déc. 2020 Infos pratiques Localiser Square du 11 novembre et du Souvenir Français - Quai du Général de Gaulle 37400 Amboise Accès Monument aux Morts "Amboise à ses morts / 1914-1918" Square du 11 novembre et du Souvenir Français - Quai du Général de Gaulle 37400 Amboise
Cérémoniedu 5 décembre. page précédente. Archives des actualités. page suivante . Emmenée par la section AFN de Saint-Loup-sur-Semouse, la cérémonie du 5 décembre en hommage " aux Morts pour la France ", de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie a eu lieu à Saint-Loup-sur-Semouse, présidée par Thierry Bordot, maire et Gérard Antoine, président de la
Publié le 03/12/2018 à 2159 Mercredi 5 décembre, journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. À 11 heures, rassemblement place de la Mairie, 11 h 15 cortège jusqu’au monument aux Morts, place du Poilu, dépôt de gerbe par la municipalité, retour au Foyer de l’étang pour un apéritif offert à tous les participants. L'immobilier à Peyriac-De-Mer 378000 € MAISON 6 PIÈCES AU CALME - AVEC PISCINEÀ vendre découvrez cette maison T6[...] 375000 € Sur une parcelle de 429 m² à 10 minutes de Narbonne, dans le village très p[...] 369000 € Peyriac de mer 11440 - Mandat de Vente 5771 Maison d'une surface habitable [...] Toutes les annonces immobilières de Peyriac-De-Mer Envie de donner votre avis ? Réagir Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’une internaute à votre commentaire ?
Le5 décembre, hommage aux combattants d’Algérie La cérémonie d’hommage du 5 décembre, aux « Morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et
Ils étaient quelques courageux en ce samedi matin pluvieux à s’être déplacé au monument aux morts pour rendre hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Article réservé aux abonnésAujourdhui a eu lieu la cérémonie du 5 décembre en hommage aux combattants de la guerre d’Algérie, du Maroc et de la Tunisie. Étaient présents : Monsieur Peguet Président de CATM, Monsieur Genty Président de la FNACA, Monsieur Garnier Président du Souvenir français et leurs porte drapeaux. De plus, de nombreux élus dont Monsieur Gouverneur Conseiller
Cérémonie du 5 décembre en hommage aux victimes de la guerre d'Algérie 12 14 Edition nationale - - 0017 - vidéo Controverse sur le choix de la date de cette cérémonie pour certains combattants, le 19 mars eut été plus judicieux car c'est la date du cessez le feu de 1962. Producteur / co-producteur France 3 Descripteurs Guerre d'Algérie, HOMMAGE, Paris, Raffarin, Jean Pierre S'orienter dans la galaxie INA Vous êtes particulier, professionnel des médias, enseignant, journaliste... ? Découvrez les sites de l'INA conçus pour vous, suivez-nous sur les réseaux sociaux, inscrivez-vous à nos newsletters. Suivre l'INA éclaire actu Chaque jour, la rédaction vous propose une sélection de vidéos et des articles éditorialisés en résonance avec l'actualité sous toutes ses formes.
5décembre : journée nationale d’hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie Mise à jour le 05/12/2014 Jean-François Cordet, préfet du Nord a présidé la
Encette journée nationale, la République renouvelle solennellement son hommage aux « morts pour la France » de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie.
Une forte délégation du Souvenir Français, dont les jeunes porte-drapeaux, assistait le dimanche 5 décembre 2021 à la cérémonie départementale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Depuis 2003, la France consacre la journée du 5 décembre à ceux qui sont morts pour la France dans ces guerres dites de décolonisation. De 1952 à 1962, en Algérie, au Maroc et en Tunisie, près de deux millions d’hommes servirent en Afrique du Nord. Plus de 25 000 d’entre eux tombèrent pour la France. 70 000 furent blessés Le Souvenir Français s’est engagé dans une refondation de sa politique de sauvegarde des tombes des Morts pour la France. Il s’agit entre autres d’assurer une veille mémorielle de ces tombes, notamment les tombes familiales, afin d’éviter que certaines d’entre elles ne disparaissent du fait de leur abandon, ou de l’impossibilité pour les familles à assurer leur entretien. C’est le cas de la tombe familiale, à Perpignan, d’un officier mort pour la France dans le contexte des combats au Maroc en 1957 les membres de sa famille sont très âgés, n’habitent plus la région. Ils viennent de demander au Souvenir Français d’assurer le suivi de la tombe en coordination avec la mairie.. Le comité de Perpignan et la Délégation Générale pour les Pyrénées Orientales du Souvenir Français se sont saisis du dossier. Assistaient à cette cérémonie pour le Souvenir Français – Le délégué général départemental, le général Gilles Glin, et le délégué départemental aux porte-drapeaux, Jean Luc Aldebert. – Le président du comité de Rivesaltes, René San Nicolas, et son porte-drapeau. – Le vice- président du comité de Claira Jacques Bonafos. – Une forte délégation du comité de Perpignan autour de son président, Ludovic Lobjois. – Plusieurs jeunes porte-drapeaux de la section Pierre Bayle, et certains de leurs aînés, porte-drapeaux de différents comités.
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Cettecour d’honneur accueille exceptionnellement ce rassemblement traditionnel du 5 décembre. C’est l’occasion de rappeler que les Invalides sont la maison de tous ceux qui Pour la première fois, une journée dédiée à la mémoire des victimes de la guerre d'Algérie doit être observée en France, le 19 mars. Mais cette date ne fait pas l'unanimité au sein de la classe politique et des associations de harkis. Le Sud se rebiffe. Plusieurs élus UMP des bords de la Méditerranée, dont Christian Estrosi, maire de Nice, Jean-Marc Pujol, maire de Perpignan, ou encore Eli Aboud, député de l’Hérault, refusent de commémorer la signature des accords d’Évian marquant la fin de la guerre d’Algérie, le 19 mars 1962. En cause la symbolique de cette date que l’opposition considère comme "un cessez-le-feu qui ne fut pas un cessez-le-sang"."Nous comprenons que le 19 mars représente un réel soulagement pour les soldats français du contingent et leurs familles, acteurs d’un conflit qui, bien souvent, les dépassait. Mais n’oublions pas qu’après le 19 mars furent torturés et massacrés des dizaines de milliers de harkis. Plusieurs milliers de civils européens furent enlevés et portés disparus", écrit Elie Aboud sur son site même avis, Christian Estrosi mène, depuis plusieurs semaines, une véritable campagne contre le 19 mars. Il refuse que les bâtiments publics de sa ville marquent l'événement, malgré la circulaire préfectorale en ce sens envoyée aux élus. Le maire de Nice estime que cette journée est "un déni de vérité" car le 19 mars 1962 a, selon lui, surtout marqué "le début d'un calvaire" pour les harkis. À Perpignan, les drapeaux seront même en berne, a annoncé le maire de la ville, Jean-Marc Pujol."Les maires sont libres de faire ce qu’ils veulent "Fixée au 19 mars par la loi du 6 décembre 2012, la "journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc" est une proposition initiée par le gouvernement de Lionel Jospin, en 2002, qui n’avait jusqu’à présent pas abouti. Elle a finalement été votée le 8 décembre 2012 par le Sénat puis validée par le Conseil constitutionnel, dix ans après avoir été gouvernement, on tente de relativiser la fronde sudiste. "Les maires sont libres de faire ce qu’ils veulent. L’obligation légale, c’est une cérémonie par département organisée par le préfet. Ce qui, pour l’heure, devrait être respecté", explique le ministère des Anciens Combattants, joint par FRANCE son côté, le directeur de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie FNACA, Guy Darmanin, se montre ferme. "Lorsque l’on est républicain, on doit se plier à la loi. Et celle-ci a été votée par le Parlement élu démocratiquement par les Français", a-t-il simplement déclaré à FRANCE 5 décembre et le 11 novembre déjà pour l’AlgérieDepuis 2003, une "Journée nationale d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie" a déjà été établie au 5 décembre, date sans aucune connotation historique choisie par le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Plusieurs responsables politiques et associations d’anciens combattants avaient, à l'époque, fait part de leur mécontentement, préférant la symbolique des accords d’Évian."Le 5 décembre a été choisi simplement en fonction de l’agenda du président de l'époque, Jacques Chirac. Cette date, qui correspond à l’inauguration du mémorial de la guerre d’Algérie au musée du quai Branly n’a aucun sens", rappelle Guy Darmanin. "Toutes les guerres sont suivies d’exactions. Pour la Seconde Guerre mondiale, nous en célébrons l’armistice le 8 mai, alors qu’elle a véritablement pris fin le 2 septembre, après Hiroshima", consensus avait été tenté par Nicolas Sarkozy qui, en 2011, avait décidé d'étendre la commémoration du 11 novembre à tous ceux qui sont récemment tombés pour la France. Mais, là encore, de nombreuses voix s’étaient élevées contre ce "Memorial Day" à l’américaine. Autant de dissensions qui montrent que la délicate question algérienne demeure, 51 ans plus tard, un lourd fardeau pour les gouvernements français successifs. Les Français, quant à eux, semblent n’avoir que "l’embarras du choix" puisque le ministère des Anciens Combattants l’assure "Le 5 décembre restera également une date de commémoration".Journéenationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Cette cérémonie s’est déroulée mardi 5 décembre 2017, en présence d’élus et des représentants des Anciens Combattants. Mr le maire a fait lecture du message de Geneviève Darrieussecq, Secrétaire d’État auprès de la Ministre Publié le 30/11/2017 à 0351 La cérémonie de commémoration pour la journée nationale d'hommage aux morts pour la France» pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie aura lieu le mardi 5 décembre, à 15 h 30, devant le monument aux morts de Foulayronnes. Au programme, montée des couleurs, lecture des messages, dépôts de gerbes, minute de silence, Marseillaise». La population est cordialement invitée. La cérémonie se clôturera par le salut aux porte-drapeaux. Cette journée d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie a été instaurée par le décret du 26 septembre 2003. Elle a donné lieu à une cérémonie officielle à Paris le 5 décembre 2013 en présence Kader Arif, ministre délégué auprès du ministre de la Défense chargé des Anciens Combattants, quai Branly devant le mémorial national de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Loto des chasseurs. La société de chasse foulayronnaise organise un loto ce vendredi 1er décembre, dans la salle des fêtes. Parmi les nombreux lots à gagner filets garnis, volailles, canards gras avec et sans foie, 600 € de chèques cadeaux. 8 parties. 1 € le carton, 10 € les douze cartons. Buvette, café, crêpes.CeDimanche 5 décembre à 17h, au square de la Médaille Militaire, a eu lieu la très belle et très émouvante Cérémonie de la Journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et Tunisie, et sous une pluie glaciale chacun était à son poste pour cet hommage.
Journée nationale d’hommage aux morts de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie Une cérémonie est organisée le samedi 5 décembre 2020 au monument aux morts de la commune de l’Isle-Adam et au monument aux morts de la commune de Parmain. En raison de cette période de crise sanitaire, le public n’est pas invité à y assister. Les membres du bureau de notre association représenteront les adhérents et les autorités militaires. Les cérémonies se dérouleront à 11h00 au monument aux morts de l’Isle-Adam et à 11h45 au monument aux morts de Parmain. Déroulement des cérémonies Samedi 05 décembre 2020 la météo était au rendez-vous et les cérémonies se sont déroulées dans d’excellentes conditions à l’Isle-Adam et à Parmain. Il manquait bien sûr le public en raison des conditions sanitaires mais le protocole a été respecté sous la direction du maître de cérémonie. Le Maire de Parmain, M Loïc Taillanter, était présent. M Sébastien Poniatowski, le Maire de l’Isle-Adam, était représenté par Mme Armelle Chapalain, adjointe au Maire. M Alphonse Pagnon, le Président de l’UNC, représentait tous nos adhérents. Monsieur Jean-Pierre Javerzac qui monte les couleurs. MonumentMonument à l’Isle-Adam Les autoritésMme Chapalain, M Taillanter, M Pagnon Maître de cérémonie Représentants militaires Porte-drapeauM Jean-Claude Baudart Dépôt de gerbeM Loïc Tallanter Dépôt de gerbeMme Armelle Chapalain DiscoursM Alphonse Pagnon MonumentMonuments aux morts de Parmain Les autoritésM Pagnon, Mme Chapalain, M Taillanter Dépôt de gerbeMme Chapalain à Parmain Dépôt de gerbeM Taillanter à Parmain IMG_20201205_114658 DiscoursM Taillanter à Parmain 5 décembre 2020
Lacérémonie d’hommage aux morts de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie, se déroulera dans le strict respect des règles sanitaires le samedi 5 décembre à Amboise. En application des directives préfectorales, le nombre de participants reste limité à six personnes ; par conséquent la cérémonie n'est pas ouverte au public. La cérémonie
Le 5 décembre est la journée nationale d’hommage aux morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie. A cette occasion, les membres de l’amicale des Anciens Combattants et du Souvenir et M. le Maire Alain Maratrat se sont réunis en fin de matinée devant le monuments aux morts pour rendre hommage aux hommes tombés au cours de ce conflit et notamment à Maurice Zazzali, originaire de Martin-Église et décédé au cours de ce dernier. Après avoir lu le message de Mme Geneviève Darrieussecq, M. le Maire a déposé en compagnie du président de l’amicale des Anciens Combattants et du souvenir une gerbe au pied du monument aux morts avant d’observer une minute de silence. Télécharger PDF, Inconnu
CérémoniesPatriotiques du 5 décembre – Hommage aux « Morts pour la France » de la Guerre d’Algérie et des Combats du Maroc et de la Tunisie Communiqu é. 29 nov,2020 La La cérémonie de commémoration pour la journée nationale d'hommage aux morts pour la France» pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie aura lieu le mardi 5 décembre, à 15 h 30, devant le monument aux morts de Foulayronnes. Au programme, montée des couleurs, lecture des messages, dépôts de gerbes, minute de silence, Marseillaise». La population est cordialement invitée. La cérémonie se clôturera par le salut aux porte-drapeaux. Cette journée d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie a été instaurée par le décret du 26 septembre 2003. Elle a donné lieu à une cérémonie officielle à Paris le 5 décembre 2013 en présence Kader Arif, ministre délégué auprès du ministre de la Défense chargé des Anciens Combattants, quai Branly devant le mémorial national de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Loto des chasseurs. La société de chasse foulayronnaise organise un loto ce vendredi 1er décembre, dans la salle des fêtes. Parmi les nombreux lots à gagner filets garnis, volailles, canards gras avec et sans foie, 600 € de chèques cadeaux. 8 parties. 1 € le carton, 10 € les douze cartons. Buvette, café, crêpes.7sd7vc.